dimanche 17 septembre 2017

LES BELLES DE L'OKTOBERFEST S'ÉCLATENT !


Parmi les substances liquides les plus importantes en ce bas monde, il y a bien sûr l'eau, source de vie, qui recouvre 75% de la terre. Il y a le pétrole, aussi surnommé l'or noir, source d'énergie -et de pollution- dont les humains sont trop dépendants. Et il y a la BIÈRE ! 

La bière de Munich et de l'OKTOBERFEST.  Cette fête de la bière allemande, qui a commencé hier et se poursuivra jusqu'au 3 octobre. 

C'est le plus festival populaire au monde.  Il est célébrée depuis plus de 200 ans. 

Entre six et sept millions de visiteurs participeront à ces réjouissances et ils ingurgiteront plus de six millions de litres de la populaire boisson alcoolisée.



Chaque année, des touristes viennent de partout afin de goûter à ce que bien des hommes définissent comme le bonheur parfait : boire de la bonne bière, entourés par de jolies femmes, au rythme d'une musique entraînante. 

En effet, que demandez de plus ? Les Italiens, les Américains sont au rendez-vous en grand nombre, tout comme les Japonais et les Australiens. Une fois au coeur de la fête foraine, ils oublient tous leurs soucis et c'est la belle vie ! On mange du poulet rôti (annuellement, 500 000 poulets sont dévorés à cette occasion) et des bretzels.  On chante, on danse, on joue, on s'amuse ! 

Mais, surtout, on boit de la bière. Parfois trop ! Comme ces 600 ou 700 personnes que l'on doit secourir chaque année parce qu'elles ont sombré dans un coma éthylique...


Il faut dire qu'on les encourage à boire en grandes quantités puisque le minimum que l'on peut commander, comme consommation, c'est la chope de bière d'un litre, que l'on vend tout près de 11 euros l'unité. C'est bougrement cher ! 

Voilà pourquoi l'acheteur tient à ce que la chope contienne bien la quantité vendue. Mais c'est rarement le cas. Plus souvent qu'autrement, il n'y a que 0,9 litre dans chaque verre. On tolère ce manque à gagner. Mais parfois, même ce minimum n'est pas respecté. On peut parler alors de fraude. 

Les propriétaires de brasseries se défendent de gonfler le prix de leurs produits durant l'oktoberfest. Mais en 2010 une bière coûtait 942 % plus cher que la même chope en 1950. À titre de comparaison pour la même période de temps, le prix de l'essence a augmenté de 347 %.


C'est peut-être pour ça que les buveurs de bière cherchent à récupérer une partie de leur argent en volant la chope elle-même. Ces dernières années, on a été obligé d'augmenter le nombre d'agents de sécurité pour contrer ce fléau. Leur nombre s'élève à 650 cette année, mais cette augmentation de 200 gardiens par rapport aux années précédentes s'explique surtout à cause des risques liés aux attentats terroristes.  En 2008, ce personnel, qui fait partie des 12 000 travailleurs engagés par l'oktoberfest, a saisi 200 000 chopes que les visiteurs tentaient de subtiliser.

Mais, en général, les participants à la fête ne regardent pas trop à la dépense. En moyenne ils dépensent chacun 54 euros, pour un total de 830 millions d'euros au bout du compte. Il y a bien des attractions (200 en tout) pour permettre aux gens de se divertir et d'avoir du plaisir. 

Parmi les jeux et les manèges qui sont offerts à la clientèle de type familial, la grande roue de 50 mètres de haut, permet à ceux et celles qui y montent, de voir tous les paysages environnants. Une expérience excitante !


Mais la plus merveilleuse attraction de l'oktoberfest est sans contredit les hôtesses de la fête, c'est-à-dire les Bavaroises dans leur magnifique costume traditionnel. Cette robe à manches bouffantes accompagnée d'un tablier de couleurs vives est faite pour mettre en valeur leurs magnifiques attributs féminins !

Autre texte sur le même sujet dans mon blogue BELLES À CROQUER (http://bellesacroquer.blogspot.com/2011/10/des-bavaroises-de-toutes-les-races-et.html ).

lundi 4 septembre 2017

DES BELLES À CROQUER CÉLÈBRES SE DÉSHABILLENT POUR PETA !


En démocratie, les groupes de pression (que l'on appelle aussi groupes d'intérêts ou d'influence), jouent un rôle important pour orienter les politiciens qui nous gouvernent. Ils sont le reflet des changements sociaux ou de l'évolution de la conscience collective. Ils militent pour les droits humains, leurs intérêts particuliers ou ce qu'ils estiment être primordial pour le bien de notre vie en société.

Ces organismes peuvent être des syndicats, des chambres de commerce, des associations de protection des consommateurs, des corporations professionnelles, des conseils du patronat, des groupes environnementaux ou de défense des droits des animaux comme PETA (People for the Ethical Treatment of Animals).


Cette organisation, fondée en 1980 et dont le quartier général est situé à Norfolk, en Virginie, est reconnue pour ses coups d'éclat et les moyens radicaux qu'elle prend pour se faire connaître et dénoncer la cruauté envers certaines espèces animales. Au nom des deux millions de membres qui la financent par leurs dons, elle vise tous les pouvoirs qui peuvent l'aider à atteindre ses objectifs.

Ses manifestations publiques souvent controversées et choquantes se déroulent presque toujours dans des lieux symboliques ou devant le siège même du pouvoir politique : Maison Blanche à Washington, parlements, palais royaux, etc. Lorsqu'il le faut, PETA ira jusque devant les tribunaux pour faire valoir ses arguments.


Ou cet organisme à but non lucratif persuadera certaines entreprises puissantes de boycotter un fournisseur coupable de cruauté envers les animaux. C'est arrivé en 2002 quand PETA a mis de la pression sur des sociétés internationales comme Nike, Reebok et Chrysler afin qu'ils boycottent le cuir en provenance de l'Inde.

Le groupe de pression en faveur des droits des animaux dénonçait à ce moment-là les conditions effroyables dans lesquelles étaient transportées les bêtes qui étaient plus tard écorchées vives avant que leur peau serve ensuite à faire du cuir.


Afin de sensibiliser le public à leur combat, PETA compte énormément sur les médias et le concours de personnalités connues, comme Pamela Anderson, (les photos sous le titre montre Sheridyn Fisher et -plus bas-Michelle Manhart; Olivia Munn apparaît ci-dessus) mises à contribution pour livrer leurs messages chocs.

Des manifestations retentissantes ou des coups d'éclat, c'est efficace dans la mesure où le plus de monde possible en aura connaissance. Il faut qu'on en parle dans les journaux, les revues, les reportages radiophoniques et télévisés. Sinon tout ce travail d'organisation et de mobilisation risque de se transformer en coups d'épée dans l'eau. 

PETA ne recule devant aucun moyen pour retenir l'attention des médias ou des gens dans la rue. Le résultat est parfois contesté parce qu'il déborde les limites de ce qui est acceptable aux yeux de certains groupes de personnes. L'Église catholique s'est ainsi opposée vivement à l'utilisation de symboles religieux dans la publicité ou les manifs de PETA. Même indignation chez les Juifs quand PETA a comparé la cruauté faite aux animaux aux massacres des Juifs dans les camps de concentration nazis lors de la Seconde Guerre Mondiale.


On peut juger si PETA dépasse les bornes lorsqu'on observe le regard des spectateurs qui croisent les activistes du groupe dans la rue. Quand les gens voient des protestataires nus (presque toujours des femmes), cela peut les indisposer, les gêner, les mettre mal à l'aise, les choquer (surtout quand les témoins du "show" sont accompagnées par des enfants) ou les transformer en voyeurs.

Ce furent probablement les effets produits par la "démonstration" des "nudistes" (photo ci-dessus) protestant contre l'utilisation de la peau des ours pour confectionner les fameux bonnets de fourrure dont se coiffent les gardes de la Reine d'Angleterre.


La réaction de la population a possiblement été encore plus déconcertée dans le cas de cette exposition de deux femmes enceintes, presque complètement dénudées, devant ce restaurant anglais (photo ci-dessus) servant de la viande de porc à ses clients.

Elles voulaient reproduire et dénoncer les conditions dans lesquelles des truies sont confinées avant de donner naissance à leurs porcelets.


On monte d'un autre cran dans ce qui est contestable au point de vue de l'éthique, quand PETA rassemble des activistes non seulement nus mais couverts de peinture ou de teinture pour simuler le sang (comme ci-dessus, en Espagne). Beaucoup de témoins de la scène détourneront leur regard ou condamneront même ce moyen extrémiste de sensibilisation du public.

Il est peut-être préférable pour PETA, afin de ne pas trop rebuter les gens et de faire mieux passer leur message, de soigner davantage leur "mise en scène" et de l'associer à une banderole ou une pancarte qui explique leur point de vue.


Quant à moi, je trouve plus agréable et intelligent l'emploi de l'humour dont fait fréquemment preuve PETA pour atteindre ses cibles auprès du public et des autorités politiques. Les féministes fulmineront certes en voyant des femmes (comme celles photographiées ci-dessus) se faire exploiter "sexuellement" en acceptant un rôle de racoleuse néfaste pour leur image et leur condition d'être humain. 

Au moins, si ces jolies activistes (souvent des mannequins ou des célébrités engagés par PETA ou qui adhèrent aux idées de l'organisation) scandalisent peut-être certaines personnes par un excès de provocation, elles livrent efficacement leur message avec le sourire. Un message et une mise en scène qui sont susceptibles de faire sourire à leur tour les passants dans la rue, à défaut de les faire réfléchir ou de vraiment attirer leur sympathie à la cause de PETA.

LE TOP-10 DES CHEERLEADERS DE NOËL DANS LA NFL ! Elles sont belles à croquer les cheerleaders de la Ligue Nationale de Football (NFL).  Et e...