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jeudi 2 août 2018

QUELQUES CONSEILS POUR COMBATTRE LA CANICULE !


Encore cette année, l'Europe a été touchée par des chaleurs caniculaires extrêmes.  Même dans le nord, en Scandinavie, des records de température élevée ont été battus.

Que faire pour éviter le pire quand le soleil tape aussi fort ?  Jetons un clin d'oeil sexy sur la question...

Le premier conseil est de bien s'hydrater.  Boire huit verres d'eau par jour, ce n'est pas trop.  Et comme l'illustre la jolie baigneuse à la poitrine aussi volumineuse que les fruits qu'elle déguste (photo ci-dessus), il faut manger léger et frais !



Mais attention à ce que vous buvez !  Il est hors de question d'avaler des boissons alcoolisées.

Si, par exemple, une bonne bière froide semble tout indiquée quand le coup de chaud frappe, rappelez-vous que l'alcool qui accompagne cette mixture de houblon fait monter la température du corps, au lieu de l'abaisser.

L'alcool peut même aggraver la déshydratation.  Pour consommer de la bière en bonne quantité et en bonne compagnie, mieux vaut attendre à l'automne, lors de l'Oktoberfest (photo ci-dessus) !  

Essayer de se désaltérer avec des boissons sucrées ne représente pas non plus la solution quand le mercure culmine.  Le sucre donne soif au lieu de l'étancher.



Lors des chaleurs torrides, il faut se rafraîchir fréquemment.

Prenez des douches (comme Sarah, ci-dessus, qui est une cheerleader des Texans de Houston, de la Ligue Nationale de Football Américain) ou des bains frais chaque jour.

Passez au moins deux heures par jour dans des endroits frais ou climatisés (bibliothèques, centres commerciaux, etc).



Rafraîchissez votre peau avec une serviette mouillée plusieurs fois par jour.

Ou, comme cette femme (photo ci-dessus) participez à des concours de gilets mouillés, pour joindre l'utile à l'agréable !

Les spectateurs qui seront témoins de ces douches coquines apprécieront au plus haut point, et tout le monde va s'amuser à peu de frais !



La chaleur étouffante est peu propice aux efforts physiques.

Évitez si possible les travaux exigeant de trop grands efforts.

Aux couples, on recommande également de prendre ça "cool".  Ce n'est pas le temps des chicanes de ménage et des crises de jalousie.

Quand les tempéraments s'échauffent, la chaleur extérieure devient d'autant plus insupportable !



Portez des vêtements légers.

Choisissez des tissus qui laissent respirer la peau.  Le cuir ou le latex sont à proscrire !

Certains membres du groupe de pression PETA (protection et traitement éthique des animaux) ont trouvé des solutions vestimentaires originales (photo ci-dessus) pour composer avec les grandes chaleurs !

Pour vous protéger des rayons ultra-violets trop ardents, quelques accessoires sont de mise.

Les belles Européennes d'autrefois, voulant à tout prix préserver leur peau blanche, ne sortaient pas sans leur ombrelle.

Cet article n'est plus guère employé de nos jours.  Mais une fois mal pris, sous un soleil de plomb, pourquoi ne pas recourir au...parapluie !



Les "umbrella girls" (comme celle ci-dessus) apprécient ce cache-soleil, d'autant plus que les températures aux abords des pistes de course automobile sont souvent infernales avec tout ce bitume et la chaleur dégagée par la foule et les moteurs des engins qui tournent à plein régime. 

Fumez des cigarettes "gauloises" n'aidera cependant pas votre cause si vous cherchez à abaisser votre température corporelle...



Le centre de contrôle, qu'est votre tête, a tendance à surchauffer quand le mercure grimpe bien au-dessus de la normale.

Un chapeau de paille pourrait atténuer les effets néfastes d'un soleil impitoyable.

La cow-girl ci-dessus l'a bien compris.



Enfin, canicule et échauffement sexuel ne vont pas bien ensemble.  Messieurs, veuillez noter qu'observer trop longtemps et trop intensément les belles filles sur la plage, risque de vous donner le torticolis et la fièvre !

Surtout quand des reines de beauté comme la top modèle Irina Shayk (photo truquée ci-dessus) sont dans les parages ! 

lundi 4 septembre 2017

DES BELLES À CROQUER CÉLÈBRES SE DÉSHABILLENT POUR PETA !


En démocratie, les groupes de pression (que l'on appelle aussi groupes d'intérêts ou d'influence), jouent un rôle important pour orienter les politiciens qui nous gouvernent. Ils sont le reflet des changements sociaux ou de l'évolution de la conscience collective. Ils militent pour les droits humains, leurs intérêts particuliers ou ce qu'ils estiment être primordial pour le bien de notre vie en société.

Ces organismes peuvent être des syndicats, des chambres de commerce, des associations de protection des consommateurs, des corporations professionnelles, des conseils du patronat, des groupes environnementaux ou de défense des droits des animaux comme PETA (People for the Ethical Treatment of Animals).


Cette organisation, fondée en 1980 et dont le quartier général est situé à Norfolk, en Virginie, est reconnue pour ses coups d'éclat et les moyens radicaux qu'elle prend pour se faire connaître et dénoncer la cruauté envers certaines espèces animales. Au nom des deux millions de membres qui la financent par leurs dons, elle vise tous les pouvoirs qui peuvent l'aider à atteindre ses objectifs.

Ses manifestations publiques souvent controversées et choquantes se déroulent presque toujours dans des lieux symboliques ou devant le siège même du pouvoir politique : Maison Blanche à Washington, parlements, palais royaux, etc. Lorsqu'il le faut, PETA ira jusque devant les tribunaux pour faire valoir ses arguments.


Ou cet organisme à but non lucratif persuadera certaines entreprises puissantes de boycotter un fournisseur coupable de cruauté envers les animaux. C'est arrivé en 2002 quand PETA a mis de la pression sur des sociétés internationales comme Nike, Reebok et Chrysler afin qu'ils boycottent le cuir en provenance de l'Inde.

Le groupe de pression en faveur des droits des animaux dénonçait à ce moment-là les conditions effroyables dans lesquelles étaient transportées les bêtes qui étaient plus tard écorchées vives avant que leur peau serve ensuite à faire du cuir.


Afin de sensibiliser le public à leur combat, PETA compte énormément sur les médias et le concours de personnalités connues, comme Pamela Anderson, (les photos sous le titre montre Sheridyn Fisher et -plus bas-Michelle Manhart; Olivia Munn apparaît ci-dessus) mises à contribution pour livrer leurs messages chocs.

Des manifestations retentissantes ou des coups d'éclat, c'est efficace dans la mesure où le plus de monde possible en aura connaissance. Il faut qu'on en parle dans les journaux, les revues, les reportages radiophoniques et télévisés. Sinon tout ce travail d'organisation et de mobilisation risque de se transformer en coups d'épée dans l'eau. 

PETA ne recule devant aucun moyen pour retenir l'attention des médias ou des gens dans la rue. Le résultat est parfois contesté parce qu'il déborde les limites de ce qui est acceptable aux yeux de certains groupes de personnes. L'Église catholique s'est ainsi opposée vivement à l'utilisation de symboles religieux dans la publicité ou les manifs de PETA. Même indignation chez les Juifs quand PETA a comparé la cruauté faite aux animaux aux massacres des Juifs dans les camps de concentration nazis lors de la Seconde Guerre Mondiale.


On peut juger si PETA dépasse les bornes lorsqu'on observe le regard des spectateurs qui croisent les activistes du groupe dans la rue. Quand les gens voient des protestataires nus (presque toujours des femmes), cela peut les indisposer, les gêner, les mettre mal à l'aise, les choquer (surtout quand les témoins du "show" sont accompagnées par des enfants) ou les transformer en voyeurs.

Ce furent probablement les effets produits par la "démonstration" des "nudistes" (photo ci-dessus) protestant contre l'utilisation de la peau des ours pour confectionner les fameux bonnets de fourrure dont se coiffent les gardes de la Reine d'Angleterre.


La réaction de la population a possiblement été encore plus déconcertée dans le cas de cette exposition de deux femmes enceintes, presque complètement dénudées, devant ce restaurant anglais (photo ci-dessus) servant de la viande de porc à ses clients.

Elles voulaient reproduire et dénoncer les conditions dans lesquelles des truies sont confinées avant de donner naissance à leurs porcelets.


On monte d'un autre cran dans ce qui est contestable au point de vue de l'éthique, quand PETA rassemble des activistes non seulement nus mais couverts de peinture ou de teinture pour simuler le sang (comme ci-dessus, en Espagne). Beaucoup de témoins de la scène détourneront leur regard ou condamneront même ce moyen extrémiste de sensibilisation du public.

Il est peut-être préférable pour PETA, afin de ne pas trop rebuter les gens et de faire mieux passer leur message, de soigner davantage leur "mise en scène" et de l'associer à une banderole ou une pancarte qui explique leur point de vue.


Quant à moi, je trouve plus agréable et intelligent l'emploi de l'humour dont fait fréquemment preuve PETA pour atteindre ses cibles auprès du public et des autorités politiques. Les féministes fulmineront certes en voyant des femmes (comme celles photographiées ci-dessus) se faire exploiter "sexuellement" en acceptant un rôle de racoleuse néfaste pour leur image et leur condition d'être humain. 

Au moins, si ces jolies activistes (souvent des mannequins ou des célébrités engagés par PETA ou qui adhèrent aux idées de l'organisation) scandalisent peut-être certaines personnes par un excès de provocation, elles livrent efficacement leur message avec le sourire. Un message et une mise en scène qui sont susceptibles de faire sourire à leur tour les passants dans la rue, à défaut de les faire réfléchir ou de vraiment attirer leur sympathie à la cause de PETA.

lundi 7 novembre 2011

COWGIRLS CHARNELLES, MATERNELLES OU CRUELLES...

Avant la présente génération des enfants des ordinateurs et des jeux électroniques, avant les enfants de la télé qui ont grandi dans la dernière partie du 20e siècle, il y a eu les enfants des dernières grosses familles, ceux que l'ont a appelé les "baby boomers". Issus d'un monde encore rural, avant l'avènement du contrôle des naissances par la pilule anti-conceptionnelle, un monde déjà dépassé dont la population allait connaître un exil forcé vers les milieux urbanisés, au cours des années '60, ces enfants, du moins ceux de l'Amérique du Nord, ont découvert, exploré et apprivoisé leur environnement naturel, ils ont appris à socialiser, en jouant aux cowboys et aux indiens. Sans se douter, peut-être, que leurs jeux guerriers mimaient une partie de la vraie histoire des peuples du continent nord-américain, notamment celle de la conquête de l'Ouest au 19e siècle. Ces garçonnets, se prenant pour des cowboys ou des indiens, intégraient parfois leurs soeurs ou leurs amies dans leur monde imaginaire en leur réservant le rôle de "squaws". Curieusement, si la contre-partie féminine des indiens étaient présentes de temps à autres dans ces jeux d'enfants, on n'avait pas idée d'y associer des compagnes pour les pauvres cowboys solitaires... Pourtant, ces cowgirls ont bel et bien existé au temps de la conquête de l'Ouest. Si la grande majorité des femmes de cette époque mythique en avaient plein les bras à s'occuper de la maison familiale et de leur nombreuse progéniture, certaines savaient monter à cheval et se servir d'un lasso même si le métier de cowboy était alors réservé aux hommes. La vie de ces travailleuses de ranch auprès de bêtes à cornes n'avait rien de romantique. C'était une vie éreintante et rude, pleine de dangers. En récompense de leur dur labeur : une certaine liberté et un mode de vie passionnant pour celles qui avaient soif d'aventures et de défis.

Encore de nos jours, il y a des "ranchers" de sexe féminin qui mènent ce genre d'existence trépidante. Lorsque vous les voyez marquer au fer rouge des veaux capturés dans les grands pâturages du sud-ouest américain, vous vous dites que ces femmes n'ont pas froid aux yeux mais qu'elles pourraient avoir affaire aux militants de PETA, cet organisme oeuvrant pour le traitement éthique des animaux. Aux yeux de ces protecteurs de la race animale, certaines pratiques des cowboys et des cowgirls sont cruelles, y compris la maltraitance des animaux de fermes lors des rodéos. Pour eux, pourchasser un petit veau ou un agneau dans une arène, le rabattre au sol pour lui attacher les pattes ensemble, constituent des actes barbares. Ils s'opposent également à ce que les cowboys ou les cowgirls frappent leurs montures à coups de fouet ou de cravache dans le but d'accélérer leurs courses. Plusieurs villes, dont San Francisco et Fort Wayne, en sont d'ailleurs venues à interdire carrément les rodéos sur leur territoire. D'autres cités, comtés ou états ont banni certaines épreuves de rodéos dans lesquelles les animaux peuvent subir des blessures ou du stress.




À côté de ces vraies cowgirls, il y a aussi d'autres amantes de la race chevaline qui, bien qu'elles aiment tout ce qui est western ou country, ne désirent que pratiquer simplement leur sport préféré : l'équitation. Quiconque a eu, comme moi, la très grande chance d'observer la complicité et l'amour qui unissent une amie ou une proche parente à son cheval, comprendront qu'il s'agit d'un des plus beaux spectacles que l'on puisse imaginer. Il faut surtout les observer quand elles prennent soin de leur bête. Lorsqu'elles les nourrissent, les lavent, les étrillent, les caressent, leur parlent doucement à l'oreille ou y vont d'une accolade tête contre tête. Il faut voir et entendre ces grosses bêtes, domestiquées mais toujours un peu sauvages, répondre à leur bienveillante cavalière par des regards doux, des saluts de la tête et des hennissements de contentement. Splendide ! Des moments attendrissants, remplis de poésie et d'une grande beauté... Tant la belle que la bête resteront inconditionnellement loyales et fidèles l'une à l'autre, jusqu'à ce que la mort les sépare...


Enfin, assez loin des amatrices d'équitation ou des cowgirls de ranch et de rodéo, il y a toutes ces jeunes femmes sexy, ces mannequins ou ces artistes féminins qui ont adopté la mode country pour associer leur beauté à la légende du rêve américain. Dans leur cas, "adopter" est un bien grand mot. On devrait plutôt parler d'adaptation. On se déguise en cowgirl en modifiant pas mal son costume traditionnel. On troque le chemisier ample à manches longues pour un t-shirt sexy, un bustier ou une blouse décolletée. On porte les fameux blue jeans, mais ceux des cowgirls "pin-up" ont tendance à être très courts ! Une légèreté totalement proscrite par les règlements de la WPRA (Women's Professional Rodeo Association) ! Il n'y a que les chapeaux, les ceintures et les bottes qui peuvent être comparables chez ces deux catégories de cowgirls et encore... Il est intéressant de savoir que ces deux aspects, l'aspect esthétique des reines du rodéo et l'aspect athlétique des compétitrices de rodéo, ont été présents côte à côte dès le début du XXe siècle. Déjà, à la fin du 19e siècle, le célèbre Buffalo Bill avait engagé quelques femmes pour son spectacle de cirque combinant des démonstrations de tirs d'armes à feu et des numéros d'équilibristes à cheval. Ensuite, jusqu'aux années 1930, les organisateurs de rodéos ont fait de plus en plus appel aux cowgirls en élargissant le nombre d'épreuves auxquelles elles pouvaient participer. Beaucoup de promoteurs limitaient toutefois le rôle de la gent féminine à celui de reine du rodéo pour servir leurs objectifs de promotion. En 1929, la mort de la cowgirl Bonnie McCarroll a cantonné encore plus les femmes dans ce rôle de "sweetheart". En chutant de son cheval, la malheureuse a vu un de ses pieds se coincer dans un étrier. Pendue à sa monture, elle a été traînée sur le sol autour de l'arène de rodéo. En prenant le contrôle de plusieurs rodéos importants, à cette époque, Gene Autry a interdit aux femmes de prendre part aux compétions, sauf à celle de la course à obstacles autour de barils.


Frustrées de n'être souvent que des décorations ou des femmes objets, les cowgilrs ont pris leur revanche après la guerre 39-45. Elles ont organisé des rodéos réservés exclusivement aux personnes de leur sexe. Modifiant et adaptant les règlements du rodéo selon leurs propres exigences, elles ont créé une association (la "Girls Rodeo Association") pour défendre et promouvoir leurs intérêts. Cette association est l'ancêtre de la "Women's Professional Rodeo Association" qui régit maintenant leurs activités. Le métier de cowgirl de rodéo est un peu en déclin ces dernières années. Les coûts de participation aux rodéos (notamment le transport et l'entretien des chevaux) ont beaucoup augmenté alors que la valeur des bourses remises aux gagnantes des épreuves de rodéo ne suffit plus à équilibrer leur budget. Seules celles qui ont la "vocation", et suffisamment de persévérance, continuent à courir les rodéos un peu partout dans l'Ouest nord-américain. Elles ont aussi bien souvent le support de leur conjoint ou de proches parents qui pratiquent aussi le même métier. Que l'on soit favorable ou indifférent à leur cause, il serait dommage d'assister à la disparition des vraies cowgirls. Mais si jamais cela se produisait, il nous resterait quand même leurs "caricatures", ces belles cowgirls sans cheval mais si agréables à regarder, dans les magazines ou les lieux publics de cette Amérique profonde nimbée de rêves et de légendes mythiques.

Quoi de mieux que la chanson "American Honey", du fameux groupe country Lady Antebellum pour accompagner ce diaporama des plus belles cowgirls américaines. Un régal pour les oreilles et les yeux !

LE TOP-10 DES CHEERLEADERS DE NOËL DANS LA NFL ! Elles sont belles à croquer les cheerleaders de la Ligue Nationale de Football (NFL).  Et e...