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jeudi 8 mars 2018

SPRING BREAK U.S. : DUR COUP POUR LA MORALITÉ ET LA SANTÉ !


Aux États-Unis, à partir de la fin des années 1960, les étudiants et les étudiantes sont devenus de plus en plus turbulents durant le Spring Break, cette semaine de vacances qui marque une pause au milieu du semestre de la deuxième partie de l'année scolaire.

Les jeunes collégiens américains ont imaginé toutes sortes de façons de s'amuser, et leurs festivités pas très sages étaient souvent très bien "arrosées" !

Si bien que les autorités des états du sud-est et de la côte du Pacifique, où les fêtards se rendaient pour célébrer leur congé de mi-session sur les plages de bord de mer, ont adopté des règlements leur défendant de consommer des boissons alcoolisées avant l'âge de 21 ans.



Les étudiants ont contourné ces règlements restrictifs en se rendant tout simplement faire la fête dans des endroits comme le Mexique où l'âge minimum pour "se saouler" est plus bas.

Au cours des dernières décennies, avec la révolution sexuelle et la libération de la femme, les collégiennes "en relâche" ont adopté des comportements et un "code" vestimentaire de plus en plus "osés".  Une pratique populaire est celle des "body shots".  Elle consiste à déguster des boissons alcoolisées sur le corps d'une compagne ou d'un compagnon.

Ci-dessus, c'est le nombril de cette collégienne sexy qui sert de "verre" de dégustation.  Une autre variante intéressante est l'utilisation de petits gobelets en plastique, remplis de bière ou de spiritueux, que l'on insère entre les seins d'une participante.  Son ou sa collègue étudiante va s'abreuver à cet endroit "délicat" en se servant uniquement de sa bouche.  Ce qui cause souvent de drôles de torsions du corps !


En poussant le concept coquin plus loin, on en arrive à un véritable exhibitionnisme.

Ce phénomène a gagné des adeptes sur les plages des destinations soleil des étudiants vacanciers.  Et avec la popularité des téléphones intelligents, capables de prendre des photographies ou de faire des vidéos, le web a été envahi d'images montrant les folies de ces jeunes en mal de sensations fortes ! 

Le fameux "auto-portrait" ci-dessus en est un exemple parmi bien d'autres !  Comme on peut le constater, un peu de "relief", sur la monotone surface plate des immenses plages de sable du sud, n'est pas à dédaigner !  

samedi 3 mars 2018

SPRING BREAK AMÉRICAIN : LES ÉTUDIANTS S'ÉCLATENT MALGRÉ LE DANGER...


Voici revenu la folle période de la semaine de relâche scolaire. Elle n'a pas la même signification d'un pays à l'autre ou...d'un étudiant à l'autre. Pour certains c'est un temps de repos, de ressourcement, de réflexion. Pour d'autres, c'est une semaine de lecture et de rattrapage dans les travaux scolaires.

Mais pour la majorité des collégiens américains, le "Spring Break" veut dire : vacances au soleil du sud, partys à n'en plus finir, et une foule d'activités permettant de s'amuser, de lâcher son fou, et de se changer les idées. Au diable la discipline et les études ! On n'obéit à rien ni à personne. On vit au rythme de ses fantaisies. On profite de la liberté et de la jeunesse, avec excès et insouciance.

Dans de telles circonstances et avec un état d'esprit semblable, on ne sera pas étonné que les directives ou les avertissements des autorités publiques, concernant d'éventuels dangers du Spring Break, soient pas mal ignorés par les collégiens en goguette.


Ainsi, pour la troisième année consécutive, le Département de la Sécurité Publique du Texas (DSPT) a mis en garde les jeunes de cet état du sud des USA contre les dangers de se rendre au Mexique pour la relâche. Le DSPT faisait spécifiquement référence à la violence engendrée par les activités criminelles des cartels de la drogue dans le pays voisin, situé au sud des États-Unis. On recommandait aux vacanciers étudiants d'éviter particulièrement certains bars et certains clubs de nuit de Cancun, Acapulco, Mazatlan, Cabo San Lucas et Tijuana.

Il y a trois ans, une fusillade avait fait plus d'une demi-douzaine de blessés lors du Spring Break à Panama City.

Évidemment, le département du tourisme mexicain, et les responsables à l'ambassade du Mexique, ont protesté vigoureusement contre ces avis du DSPT. Ils les jugent trop alarmistes et exagérés.

Il faut dire que les agents économiques mexicains tiennent beaucoup à cette clientèle américaine. Elle est payante puisque chaque étudiant dépense en moyenne $ 500 durant son court séjour au Mexique. Il est vrai que certains hôtels ne désirent pas accueillir ces jeunes souvent trop turbulents, qui font du vandalisme ou troublent la quiétude des autres clients.


Mais tout indique que les mises en garde du DSPT n'ont pas été entendues ni respectées. D'après les réservations d'hôtels (dont plusieurs affichaient complet), Cancun était déjà assurée d'être cette année la destination numéro 1 des étudiants pour le Spring Break.

L'an dernier c'est Punta Cana et la République Dominicaine qui avaient obtenu les faveurs des collégiens américains qui ont voyagé en dehors de leur pays, en cette période de relâche. Interrogés à savoir pourquoi ils voulaient passer leurs vacances à Cancun malgré les avertissements de danger à cet endroit, quelques étudiants ont répondu qu'ils avaient mis de l'argent de côté pendant des mois afin de se payer du bon temps là-bas. "Peu importe, ont-ils affirmé, nous aurons du plaisir malgré tout".

Parmi les moyens de se faire du fun, il y a les fameux concours de LA PLUS BELLE FILLE EN BIKINI ou ceux de LA FILLE QUI SECOUE LE MIEUX SON POPOTIN.

LE TOP-10 DES CHEERLEADERS DE NOËL DANS LA NFL ! Elles sont belles à croquer les cheerleaders de la Ligue Nationale de Football (NFL).  Et e...